mardi 24 juin 2014

Le Râleur Nonchalant vous recommande chaudement "Godzilla"

GOD Zilla, ou Godzilla.



Après avoir écrit un article inutile complètement ivre, mon devoir était bien entendu de me rattraper.

Alors ce film Godzilla, du réalisateur peu connu Gareth Edwards ( je pense que ce nom vous parle autant que pour moi ), fut très attendu de la part des fans du gros lézard japonais.

Hasard ou pas, le film est sorti pile pour les soixante ans des destructions de villes par la bêbête en question.

J'ai vu le film en très mauvaise qualité mais, pour autant j'en fus complètement bouleversifié.

Alors le scénario, bon, un réacteur nucléaire déconne, ça fait boum, une bêbête en sort, MAIS PAS GODZILLA : celle-ci vole ( regardez le film, il y a une histoire de cul entre les bêbêtes ), et apparement Godzilla serait la réponse à la destruction que ledit phénomène pourrait engendrer, en bouzillant tout sur son passage bien sûr.

On pourrait dire à juste titre que les block busters ne brillent pas par leur scénario, et c'est vrai. Cependant, avec une réalisation, photographie ou direction artistique – appelez ça comme vous voudrez – assez hors normes, je me suis pris au jeu, le film est beau, très beau, sur un grand écran, pas sur une tablette pendant un trajet au fond du train bien sûr.

J'ai peut-être une sensibilité pour le post-apocalyptique après avoir vu Les Schtroumpfs il est vrai, ou la saga Alien à vous de choisir, mais nous avons ici un jeu de plans et de contrastes qui sont à mon goût excellement maîtrisés.

Il y a cependant une surprise !

Attention la suite va certainement vous spoiler ce qui pour moi a fait un des plus grands intérêts du film.






















C'est bon là ?


Alors en effet pour ceux qui ont vu le Godzilla tout de chair et de muscle du film de Roland Emmerich en 1998 seront un chouia déçu.

Hé oui ! Nous avons ici un Godzilla nounoursifiant au possible ! Le gros lézard pataud ivre que nous avions dans les premiers Godzilla japonais !

Un choix artistique qui m'a surpris, mais que je trouve entièrement assumé et bien géré ! Vous savez, c'est comme manger un brownie qu'on vous offre alors que vous n'aimez pas forcement le chocolat, mais à l'intérieur il y a un petit je ne sais quoi qui rend la chose irrésistible.

Bon pas grand chose d'autre à dire si ce n'est d'aller voir ce film, ou de le pirater, mais c'est mal.

De plus, pour les amateurs de la série Malcolm nous verrons au début du film le fameux frapadingue de papa joué par Bryan Cranston qui s'illustrait récemment dans Breaking Bad.


Je n'irai pas jusqu'à parler d'un chef d'oeuvre, la sensibilité artistique est bien trop personnelle pour la proclamer fait établi, mais à voir, sans apprendre par cœur evidemment.



LE RÂLEUR NONCHALANT

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire