mercredi 4 juin 2014

Le Râleur Nonchalant vous déconseille chaudement "I, Frankenstein"

Cinéphiles bonjour !

Amateur moi-même de films de science fiction/fantastique new generation en full HD pour rentabiliser la télé qui a coûté les yeux de la tête, je me suis dit un après-midi : voyons un peu les nouveautés dignes d'intérêt.

Surfant sur divers sites, prenant bien soin de ne pas regarder les bandes annonces ou autres critiques  ( mes amitiés à rotten tomatoes ) je tombe sur ce film au nom aussi sybillin qu'interrogateur : I, Frankenstein...



Tiens ? Ma foi pourquoi pas, après tout on a qu'une vie, vivons-la à fond.

Dès les cinq premières minutes, c'était foutu, tout espoir de qualité était parti.

Alors pour résumer nous avons la créature Frankenstein joué par Aaron Eckhart, alias le double face dans Batman, qui fait des efforts incroyables pour rendre la créature aussi lourdinguo-badass que possible, avec un peu d'arts martiaux, c'est cool, les arts martiaux.

Le synopsis, ou chronique d'une mort annoncée : la créature de Frankenstein se voit harcelée par des démons, OUI DES DEMONS, qui tentent de le capturer, avant d'être détruiiiiiiiiiiiiiiits MAIS PAR DES GARGOUILLES BIEN SUR. Leur reine, Léonore, explique à la Créature qu'une guerre sainte se livre depuis toujours entre les envoyés du Ciel et ceux des Enfers ( oui... ), et que lui-même a désormais un rôle à y jouer pour sauver l'humanité.

Alors faisons simple, en même temps j'écris cette critique sur le pouce, tant que c'est encore douloureux : c'est lourd, incohérent. On a devant soi une espèce de film dichotomique à l'extrême ou l'on arrive pas à se situer, on ne sait même pas où l'on se trouve, ni où ni quand ni comment, et sur pourquoi, surtout quand on sait que le scénariste a écrit Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl. Oui, ça fait mal.

Au niveau de la photographie c'est vraiment très bof, la HD et le 3D ne sont vraiment pas exploités.  Ce n'est pas moche, c'est juste que la mayonnaise ne prend décidément pas.


Vous pouvez néanmoins tenter de le regarder, les vétérans parlent du Vietnam, de l'Irak ou de l'Afghanistan, les cinéphiles parleront de I, Frankenstein ou de Jack et le chasseur de géants ( pour ceux qui on lu ma précédente critique sur le site ).


LE RALEUR NONCHALANT

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